Le comité monétaire prévu au paragraphe 1 est dissous. Edouard Depreux parvient à être élu secrétaire général, soutenu par Gilles Martinet (secrétaire général adjoint de 1960 à 1967, il quitte le PSU en 1972) et Michel Rocard, qui isolent les anciens de la IVe République, Alain Savary et Charles Hernu, tandis que les trotskystes et les ex-communistes rechignent à s'allier, ce qui leur aurait donné la majorité[3]. “Le Parti du Congrès national est dissous” et tous ses biens sont confisqués, proclame une loi intitulée “démantèlement du régime du 30 juin 1989” adoptée par le nouveau Conseil souverain au pouvoir et par le gouvernement du Premier ministre Abdallah Hamdok. Journaux et manifestes. Domaines : Le parcours politique de ces hommes – seule une femme siège dans cette instance, Mireille Osmin, issue de la SFIO et du PSA – est très divers. C'est la motion portée par, La motion C, qui compte 18 élus. En tant que seul grand parti autorisé, il joua en Allemagne de l'Est le rôle d'un parti unique, possédant le monopole de l'action politique au sein de ce pays. Section française de l'Internationale ouvrière, Centre d'études, de recherches et d'éducation socialiste, Confédération française des travailleurs chrétiens, Confédération française démocratique du travail, appropriation collective des moyens de production, Union des clubs pour le renouveau de la gauche, Fédération de la gauche démocrate et socialiste, Parti communiste marxiste-léniniste de France, Convention pour une alternative progressiste, inspecteur général de l'Éducation nationale, Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, Le parti de Pierre Mendès France : du parti radical au PSU, International Institute of Social History, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Parti_socialiste_unifié_(France)&oldid=176548341, Portail:Politique française/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, 46 membres représentant la motion majoritaire, menée par, 9 membres représentant la motion minoritaire, soutenue par les proches de, La motion B, qui compte 26 élus. In 1863, the Royal Engineers were disbanded and Moody returned to England. Examples are used only to help you translate the word or expression searched in various contexts. Please report examples to be edited or not to be displayed. 5 motions différentes se présentent pour l'élection de la Direction politique nationale, qui est ainsi composée de. Le 26 avril 1981, Huguette Bouchardeau obtient 1,11 % des voix au premier tour de l’élection présidentielle, remportée au second tour par François Mitterrand (PS). Les instances nationales dont donc largement renouvelée. Le Amtmann Circle a été dissous en 1989. Parti politique français dissous en 1989 — Solutions pour Mots fléchés et mots croisés Il y a 1 les résultats correspondant à votre recherche ✍ Cliquez sur … Celui-ci obtient 2,10 % des voix au premier tour[21]. Une nouvelle Constitution a été adoptée en 1980. Exact: 439. Le PSU se situe alors à la gauche du PS et du PCF. La réaction du parti de l’ancien Président soudanais ne s’est pas fait attendre. Pierre Mendès-France rend alors publique sa décision de quitter le parti, qu'il avait reportée après les élections de juin 1968 : il n'accepte plus l’orientation gauchiste du PSU[4]. La motion E n'est représentée que par deux responsables adjoints de commission (Marcel Pennetier, adjoint de Debarge, et Bleibtreu, adjoint d'Arthuys). The Monetary Committee provided for in paragraph 1 shall be dissolved. Il a existé entre 1897 et 1918 mais n'a pu organiser ses congrès qu'à partir de 1918. Si Michel Rocard est réélu secrétaire national, le bureau national est encore largement renouvelé. In 1863, the Royal Engineers were disbanded and Moody returned to England. Le Parlement israélien s’est dissous, de nouvelles élections en mars. Jean Bastide, membre du comité politique national, quitte le parti dès 1962 et retourne à la SFIO. Ainsi cet organisme aurait compté six trotskistes : Jean Rous (« droitier »), Robert Chéramy (lambertiste)[9], tous deux venant du PSA ; Roland Filiâtre, Yvan Craipeau, et Pierre Naville, l'un des principaux dirigeants trotskistes avant-guerre (« droitiers »)[3]. Le bureau national, pluraliste, compte lui 15 membres soit, en plus du secrétariat national, Claude Bourdet, Richard Dartigues, Guy Desson, Henri Longeot, Michel Lucas, Serge Mallet, Jean Poperen et Georges Servet. Le secrétariat national sortant est reconduit, à l'exception d'André Barjonet, remplacé par Geneviève Petiot. “Le Parti du Congrès national est dissous” et tous ses biens sont confisqués, proclame une loi intitulée “démantèlement du régime du 30 juin 1989” adoptée par le nouveau Conseil souverain au pouvoir et par le gouvernement du Premier ministre Abdallah Hamdok. C'est aussi en 1963 que Depreux et Rocard fixent une nouvelle ligne au parti, en l'adossant aux « couches nouvelles » (techniciens et cadres)[3]. Après les élections générales de mars 1973, le Congrès bicaméral avait été dissous à la suite du coup d'Etat militaire en septembre de la même année. «Le Parti du Congrès national est dissous» et tous ses biens sont confisqués, proclame une loi intitulée «démantèlement du régime du 30 juin 1989» adoptée par le nouveau Conseil souverain au pouvoir et par le gouvernement du Premier ministre Abdallah Hamdok. En mai 1964, 5 nouveaux membres sont cooptés par le CPN, tous issus de la tendance majoritaire, parmi lesquels Serge Mallet, Gilles Martinet et Pierre Naville. Les 10 et 11 avril 2010, à la suite d'une initiative de l'association des Amis de Tribune Socialiste, créée en 1962 pour populariser les positions du PSU et gérer son patrimoine, et dépositaire de son héritage intellectuel et idéologique, ont été organisées, à Issy-les-Moulineaux et Paris, des manifestations à l'occasion du 50e anniversaire du Congrès fondateur. En juin 1967, la première mue du PSU porte Michel Rocard à la direction d'un parti d'où les anciens socialistes « réformistes » sont en voie de disparition. Entrent donc Gérard Akoun, Christian Berger, François Dalbert, Gilbert Hercet et Bernard Lechelon. Parti né le 3 avril 1960, de la fusion du Parti socialiste autonome (PSA, dissidents SFIO), de l'Union de la gauche socialiste (UGS) et du groupe Tribune du communisme. Elle est composée de. C'est ainsi que la junte militaire s'est retrouvée détentrice du pouvoir absolu sous la direction du général Augusto Pinochet Ugarte. Le PSA et l’UGS sont implantés sur l’ensemble du territoire et cette composante se retrouve dans les origines géographiques des membres du Comité politique national. Huit (08) mois après sa chute, le parti de Oumar El Béchir vient d’être dissous par le gouvernement de transition soudanais, son régime démantelé. Le PSU a notamment comme premier secrétaire, de 1960 à 1967, Édouard Depreux, puis Michel Rocard, de 1967 à 1973. Le Congrès de la Courneuve (janvier 1977) voit s'affronter deux tendances, l'une, menée par le secrétaire du parti, Michel Mousel, préconisant la reconduction de listes communes de gauche pour les municipales de mars 1977 (le PSU ayant obtenu plusieurs élus aux précédentes municipales), tandis que l'autre, au sein de laquelle les militants de l'AMR sont particulièrement actifs, préconise une alliance avec le « groupe carrefour » de la LCR[19] (Robi Morder, François Morvan), voire avec l'Organisation communiste des travailleurs (le courant « mouvementiste »)[20]. Cette page est une liste des partis politiques légalement reconnus en Roumanie Partis politiques contemporains Partis ... Partis dissous Depuis 1989. "Aucun symbole du régime ou du parti n'est autorisé à s'engager dans quelque activité politique que ce soit pendant dix ans", ajoute le texte. Lors de ce scrutin, l’Union nationale (36 %) a obtenu moins de votes que le Parti libéral (39 %), mais remporte la majorité absolue des sièges à l’Assemblée législative. Le bureau national constitué en avril 1960[5] respecte la parité des fondateurs : Au comité politique national : Les dirigeants du nouveau parti d’opposition du Nouvel Avenir, qui était arrivé en troisième position aux dernières élections nationales, se sont engagés à poursuivre leur action en faveur d’un changement politique en Thaïlande, malgré la décision de la justice nationale de dissoudre leur parti et de leur interdire toute action politique durant dix ans. Le PSU reste actif dans les luttes sociales. La PNH est considéré comme un héritier direct du Parti national, fondé en 1914 et convergé 1934 Parti dans le Royaume. Serge Depaquit devient secrétaire national. Crise au Soudan - Le parti de Béchir dissous, son régime "démantelé" Home > Toute l'actualité en direct > Belgique et monde - 29-11-2019 à 01:28 - Belga Lecture 2 min. Yves Le Foll, maire (PSU) de Saint-Brieuc, soutient alors la grève du Joint Français (1972), tandis que l'ensemble du PSU soutient l'expérience autogestionnaire de Lip, à Besançon (1973). Après l'indépendance de l'Ukraine en 1991, le parti fut interdit à compter du 30 août 1991. Le congrès est marqué par l'entrée dans les instances dirigeants de Michel Rocard, sous le pseudonyme de Georges Servet. 3° dans le cas où, par son activité générale ou ses prises de positions publiques, un parti a gravement méconnu les obligations qui lui incombent en vertu de l’article 3 de la Loi n°89-36 du 12 octobre 1989 © 2013-2020 Reverso Technologies Inc. All rights reserved. Derrière Edouard Depreux, secrétaire national, on trouve Gilles Martinet, secrétaire national adjoint, Jean Arthuys, trésorier, Pierre Bérégovoy, Marc Heurgon, Harris Puisais et Georges Servet. Depuis, les différents partis doivent le plus souvent former des coalitions pour pouvoir gouverner. Huguette Bouchardeau a rejoint en mars 1983 le gouvernement, contre l'avis du bureau politique. Le décompte officiel des voix aux élections législatives mêle en 1981 le PSU avec les autres partis d'extrême gauche. Le PSU naît le 3 avril 1960 d'un double mouvement d'opposition : opposition à la guerre d'Algérie et opposition au soutien de la SFIO au « coup d'État » gaulliste de 1958, ce qui avait conduit à la constitution du cartel de l'Union des forces démocratiques rassemblant en particulier le Parti socialiste autonome (PSA) et l'Union de la gauche socialiste, deux composantes principales du PSU. Elles sont capables de détecter picomolar concentration-quest comme un comprimé de Tylenol, They are capable of detecting picomolar concentrations-that's like one Tylenol tablet, Les polymères électriquement conducteurs peuvent également être, The electrically conductive polymers can also be, Après la reddition du Japon, les Pacific Coast Militia Rangers furent, Having completed their duties, the RAP Forum was, Le cercle artistique L'Essor a été officiellement, The artistic circle l'Essor was officially. Certains militants (Jean-Pierre Lemaire) participent alors à la Fédération pour une gauche alternative (FGA), qui contribue à la recomposition de la gauche après le « tournant de la rigueur » de 1983, travaillant notamment avec l'aile gauche des Verts. 2° dans le cas où un parti applique une modification satutaire refusée par le Ministre de l’Intérieur. On n'y retrouve que trois membres sortants, André Barjonet, Christian Guerche et Bernard Ravenel, tous les autres étant des nouveaux : Huguette Bouchardeau, Jean-Claude Chamblain, François Desmoulins, Serge Depaquit, Pascal Gollet, Maguy Guillien, Victor Leduc, Hervé Letocqmin, Michel Mousel, Geneviève Petiot, Gilbert Pallier, Charles Piaget, Pierre Régnier, René Schulbaum, Alain Tlemcen, François Turquan et Lucien Varague. "Le Parti du Congrès national est dissous" et tous ses biens sont confisqués, proclame une loi intitulée "démantèlement du régime du 30 juin 1989", adoptée par le nouveau Conseil souverain au pouvoir et par le gouvernement du Premier ministre Abdallah Hamdok. la Parti national (Parti national, en afrikaans Nasionale Party, NP) était partie Sud-africain nationaliste de droit.NP a été fondée en 1951 de la fusion entre le Herenigde partie Nasionale (HNP) et Parti afrikaner (AP). (Photo d'archives) Devenus groupusculaires, ils perdent finalement le contrôle de l'UNEF en 1971, mis hors-jeu lors de la scission entre UNEF-US et UNEF-Renouveau. - Dissous en 1989 lors de son 18e et dernier congrès, il fusionne le 26 nov. 1989 avec la Nouvelle gauche pour former l'Alternative rouge et verte. Quelques mois plus tard (octobre), une fraction importante du PSU participe à une opération politique menée par le Parti socialiste (PS), les « Assises du socialisme » ayant pour but d'unifier les mouvements socialistes et sociaux-démocrates au sein du PS, derrière Mitterrand. En poste depuis un an, le Premier Ministre Tadeusz Mazowiecki démissionne, mais son parti, l'Union Démocratique, gagne les élections législatives l'année suivante. Le PSU double son score électoral aux législatives de mars 1967, obtenant quatre députés : Guy Desson, Yves Le Foll, Roger Prat et Pierre Mendès France, élu à Grenoble où le PSU s'était implanté lors des municipales de mars 1965[4]. Le PSU, qui comprend dès son origine des minorités se revendiquant d'un marxisme révolutionnaire, du luxemburgisme ou du trotskisme, évolue en s'amoindrissant, surtout après mai 1968, pour devenir un parti contestataire et auto-gestionnaire se situant hors du champ parlementaire. La fédération de l'Eure, mendésiste, est dissoute[4]. "Le Parti du Congrès national est dissous" et tous ses biens sont confisqués, proclame une loi intitulée "démantèlement du régime du 30 juin 1989" adoptée par le nouveau Conseil souverain au pouvoir et par le gouvernement du Premier ministre Abdallah Hamdok. La direction politique nationale compte 70 membres, dont : Les courants 1 et 5 décident de ne pas participer au bureau politique, qui ne compte que 14 membres : Jacques Arnol, Jeannine Blaise, Serge Depaquit, Marie-Madeleine Dughera, Monique Gresset, Jean-François Laval, Jean-Pierre Malplat (courant 3), Bernard Chaouat, Dominique Ducrest, Arnaud Massip, Jacques Laïk, Jacques Salvator (courant 2), Jean-Claude Le Scornet et Laniq Le Disloquer (courant 4). Le comité monétaire prévu au paragraphe 1 est dissous. Ainsi alors qu'Édouard Depreux annonçait 20 000 membres issus du Pari socialiste autonome, l'apport réel de ceux-ci « [devait] tourner autour de 9 000 ». "Le Parti du Congrès national est dissous" et tous ses biens sont confisqués, proclame une loi intitulée "démantèlement du régime du 30 juin 1989", adoptée par le nouveau Conseil souverain au pouvoir et par le gouvernement du Premier ministre Abdallah Hamdok. Il est cependant victime du retour à l'ordre aux législatives de juin 1968, n'obtenant aucun député ; il fait un peu mieux aux législatives de 1973, obtenant un député (Yves Le Foll). Bernard Ravenel, chargé du secteur « éducation » est associé au bureau national. 12 membres du courant A, dont Jean-Jacques Boislaroussie et Gabriel Granier. Ce syndicat étudiant participa en 1980 à la création de l'UNEF-ID. "Le Parti du Congrès national est dissous" et tous ses biens sont confisqués, proclame une loi intitulée "démantèlement du régime du 30 juin 1989" adoptée par le nouveau Conseil souverain au pouvoir et par le gouvernement du Premier ministre Abdallah Hamdok. Enfin, la tendance mendésiste, qui représente un bloc cohérent et réformiste, s'oppose au dogme marxiste de la lutte des classes et refuse l'appropriation collective des moyens de production, prônant un équilibre entre les secteurs privé et public[4] : dès le départ, le PSU apparaît comme regroupant des tendances très diverses, voire antagonistes, qui ne se rejoignent finalement que dans l'anti-gaullisme et l'anti-stalinisme. Avec la constitution de ce nouvel axe à gauche, contemporain du choc pétrolier, le déclin du PSU est alors entamé, d'autant plus que Denis Berger, fondateur de La Voix communiste, part avec environ 200 militants[17] proches de la tendance révolutionnaire (Jean-René Chauvin, etc.) "Le Parti du Congrès national est dissous" et tous ses biens sont confisqués, proclame une loi intitulée "démantèlement du régime du 30 juin 1989" adoptée par le nouveau Conseil souverain au pouvoir et par le gouvernement du Premier ministre Abdallah Hamdok. En juin 1972, la double appartenance PSU-PCMLF est interdite, ce qui provoque le départ d'Emmanuel Terray et Pierre Bauby[15]. Lors de son congrès de fondation, le PSU aurait rassemblé jusqu'à 30 000 adhérents : 20 000 issus du PSA, 10 000 de l'UGS[11]. La même année, Michel Rocard dissout la fédération PSU d'Ile-de-France, qui s'était dotée d'une direction sur sa gauche, et demande à chacun de réadhérer individuellement. Cette participation est vivement combattue à l'intérieur de son parti et ses adversaires deviennent majoritaires en décembre 1984 au Congrès de Bourges.